La bataille de Marignan est l'une des plus connues de l'histoire de France, mais aussi l'une des plus meurtrières... Dans le cadre de son exposition "Chevaliers et bombardes", le Musée de l'Armée vous propose de redécouvrir cette bataille !
Découvrez le voyage de deux superbes bombardes ayant servi lors de la bataille d'Azincourt. Conservées au musée Historique de Bâle elles sont prêtées par l'institution au Musée de l'Armée à Paris. Mettez-vous dans la peau des conservateurs et suivez le défi du transport d'objets de ce poids (1 et 2.5 tonnes) et d'une telle richesse historique !
Dans le cadre de l'exposition " Chevaliers et Bombarde, D'Azincourt à Marignan, 1415-1515.", organisée par le musée de l'Armée, découvrez le dénouement de cette bataille entre les anglais et les français qui marqua le début d'innovations sur le plan technique et stratégie militaire pour les français.
En mars dernier était découverte à Lavau, dans l'Orne, une tombe princière exceptionelle datant d'il y 25 siècle. La poursuite des fouilles a permis une : « Merveilleuse surprise, le squelette porte autour du cou un superbe torque (collier) en or massif de 580 grammes, richement orné d'un double motif de monstre ailé. Deux bracelets, du même métal, ornent ses poignets, tandis qu'un brassard en lignite ceint son biceps gauche. »
Le célèbre écrivain Honoré de Balzac a fait, entre 1825 et 1848, une dizaine de séjours dans ce château de Saché, propriété de son ami Jean Margonne. Il s’y réfugie en partie pour fuir ses ennuis financiers parisiens et ménager sa santé, mais surtout pour écrire.
L’actuel prieuré Saint-Cosme est fondé en 1092 sur un emplacement déjà occupé par une communauté religieuse depuis l’an mil. Cinq chanoines suivant la règle de Saint-Augustin s’installent sur les lieux et font construire les bâtiments monastiques autour du cloître.
C’est en ces lieux que le célèbre auteur de Pantagruel a grandi après, selon la légende, avoir vu le jour dans les champs avoisinants, en 1483 ou 1494.
Cette bâtisse du XVe siècle a vu naître René Descartes en 1596. Cette demeure qui appartient à Jeanne Sain, sa grand-mère maternelle, accueille les jeunes années du futur grand philosophe.
